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2019-08-19-Le phare-Le Canexel

J’ai passé la fin de semaine à Terres-Rompues à partager de bons repas avec mon amoureuse. Pas seulement des repas, … Je devais revenir sur l’Île dimanche soir mais elle m’a convaincu qu’il était mieux pour moi (et surtout pour elle) de partir lundi matin très tôt. Comme je suis un lève tôt, c’était franchement une bonne idée. Alors je suis parti à 4 h 45 à la noirceur. La route était pour moi tout seul. J’ai vu le jour se lever et c’était bien agréable.

 

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J’ai pris le bateau de 7 h 30. Le temps est couvert mais c’est chaud. La croisière est très agréable. J’arrive à 8 h. Le VR de Côme et Danyèle est en place dans sa nouvelle place. Ils sont arrivés hier en après-midi. Quelques temps après mon arrivée, le camion de BMR arrive lui aussi avec le fameux Canexel. C’est un gros camion-grue. Tant mieux, je ne forcerai pas. Jean-Luc est nerveux, il a hâte de voir la couleur.

 

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Viens me chercher

 

 

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Enfin, on va y voir la couleur

 

Mais Côme et moi ne poserons pas de Canexel aujourd’hui. Il faut faire le passage entre le phare et la maison afin de pouvoir poser le Canexel sur tous les murs en même temps. Alors, j’explique à Côme les grandes lignes de la construction du passage car il n’y a pas de plan pour ça. Maintenant qu’il comprend le projet, je le laisse se débrouiller et moi je vais compléter l’aspénite et l’isolant rigide autour de la porte de 24 pouces du troisième étage.

 

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Non Côme, on ne pose pas ça aujourd'hui

 

 

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T'as compris? Alors va-y!

 

Danyèle fait tinter le triangle annonçant le dîner. Nous mangeons des blé-d’Inde dehors et de la soupe en dedans. La soupe aux gourganes et le blé-d’Inde est une combinaison explosive. J’appréhende l’après-midi.

 

Il est difficile de recommencer le travail. Il pleut et il pleut encore plus fort. Nous rendons les armes. Mais finalement, la pluie cesse et nous continuons notre travail. Tout va bien. Tout? Non. Quand on manie la skill saw au dessus d’un boyau d’arrosage qui alimente le VR, il est possible qu’il y ait une rupture de conduite d’eau. Côme doit se rendre chez BMR pour acheter le nécessaire de colmatage de fuite. Prends mon auto, lui dis-je. La clé est à côté de l’allume-cigare. Ça fait longtemps qu’il n’a pas fumé. Il prend mon trousseau de clé et utilise la clé valet qui refuse de démarrer le moteur. J’ai dû lui expliquer que la seule clé qui fait démarrer le moteur est la clé à puce qui est à côté de l’allume-cigare. Il a été contraint de prendre le mulet: l’auto à Jean-Luc.

 

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C'est ça une clé à puce

 

 

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C'est moins pire que de se couper un doigt

 

Il fait chaud et on termine la journée vers 17 h. Enfin le repos. Le souper est délicieux même si c’est Jean-Luc qui l’a préparé. Oups, je vais me faire chicaner. Rouleaux impériaux pas chauds et pilons de poulet chauds avec riz aux champignons. Je me suis bourré. À 20 h, tout le monde gagne son lit.

 

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Il fait beau soleil. Je quitte mon ti-campeur pour la maison. Les deux autres frères sont déjà là. Jean-Luc a fait le café et il me reproche d’être en retard. Pourtant ma routine est plutôt rigide. C’est lui qui est en avance. En plus, il nous annonce qu’il n’a pas de pain. Côme est obligé d’aller chercher son pain au lait carré. Ce qu’il appelle le vrai pain. Jean-Luc, qui ne jure que par son pain qu’il boulange lui-même, se fait deux toasts en catimini avec le vrai pain et va se cacher dehors pour esquiver la critique.

 

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Le vrai pain

 

On commence le chantier assez tôt. Côme continue la construction du passage que l’on appelle maintenant le « trait-d’union ». Eh oui, trait d'union ne prend pas de trait d'union, mais moi j'en mets un pour renforcer. Pendant ce temps, je monte dans mon échelle et je continue mon travail autour de la porte de 24 pouces au troisième : isolant rigide, ruban, florences, plastique dans les ouvertures. Tout en haut de l’échelle, c’est un travail d’équilibriste. La madame de la CNESST est venue de façon hypocrite vérifier si je portais bien mon harnais de sécurité. Je voyais bien qu’elle doutait; alors je lui ai montré ma ligne de vie attachée à la civière.

 

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Le trait-d'union

 

 

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Oui Danyèle, je suis retenu par ma ligne de vie

 

Lorsque Jean-Luc aperçoit ce nouvel espace du trait-d’union, il a soudainement plein d’idées. Il y voit une bécosse et une fenêtre. Je trouve l’idée de la bécosse acceptable. Pour la fenêtre, je ne crois pas que c’est nécessaire. Mais puisqu’elle ne prend aucune place et qu’elle ajoute de l’éclairage, j’accepte également cette idée. Mais quelle grandeur lui donner? Je fais des calculs de proportion avec la fenêtre de sa salle de toilette et le mur et j’arrive à une fenêtre de 12 pouces par 30 pouces de haut environ. Je donne les instructions à Côme qui s’exécute aussitôt. Je lui dis également que si ça n’a pas de bon sens, on pourra toujours recouvrir d’aspénite. Cette fenêtre sera une meurtrière, c’est-à-dire une petite ouverture dans une muraille pour lancer des projectiles. Dans notre cas, les projectiles iront dans la fosse sceptique.

 

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Pas une meurtrière comme ça, j'espère

 

Après le dîner de saumon fumé sur bagels juifs, j’aide Côme à la construction du trait-d’union. À la fin de la journée, on n’a pas fini. Alors il n’y a pas eu de Canexel aujourd’hui. On verra demain.

 

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Un accent circonflexe pour le trait-d'union

 

 

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J'aime me divertir avec l'enfant du Tibet

 

Le souper est servi dehors. À ma demande, on mange un délicieux bouilli que Danyèle nous a préparé. Il fait beau même si c’est un peu venteux. À 20 h, tout le monde gagne son nid.

 

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Ce matin, le temps est gris mais chaud et venteux. Pour déjeuner, Côme a fait ses fameuses binnes. Elles sont bonnes mais j’appréhende le travail avec ce frère. Il a tendance à péter plus haut que le trou. Nous terminons le trait-d’union. Je suis dans les hauteurs et Côme coupe les morceaux de bois. La pluie est menaçante. J’ai besoin de noues pour terminer le toit du trait-d’union. Jean-Luc est allé les chercher chez BMR et il en profite pour aller à la ressourcerie pour y laisser nos cochonneries. Sera-t-il tenté d’en remporter d’autres?

 

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Tiens ta meurtrière.

 

Enfin il arrive avec les noues et je peux terminer le toit pendant que Côme installe les lisses de départ du Canexel. Eh oui, nous commençons la pose de ce revêtement. Il faut couper les extrémités à un angle de 3,1 degrés. Ensuite, on pose chacune des planches en les clouant sur les florences tout en vérifiant le niveau. Tout va bien jusqu’au dîner. On mange des blé-d’Inde et un pâté au saumon que Jean-Luc a préparé mais qui a une apparence douteuse. Ben c’est bon pareil.

 

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C'est parti pour le Canexel

 

 

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Pâté au saumon?
 

Après le dîner, on continue le travail mais la pluie nous arrête. J’étais juché tout en haut de l’échelle et c’était une bonne chose de prendre une pause. Mais pendant cette pause, je m’aperçois que certaines planches de Canexel sont mal posées. Comme je ne pourrai pas dormir avec ça, Côme et moi défaisons le travail et recommençons. Voilà, la correction est faite et la journée est terminée. Il pleut. C’est un temps de chien et même Capucine, la chienne de construction, a décidé de déposer le marteau.

 

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Toi aussi, tu déposes ton marteau?

 

 

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Il y a une bonne progression

 

Le souper est à l’intérieur de la maison. La discussion vire à la folie encore une fois. Est-ce que Masbourian parle arabe?

 

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Il a plu pendant la nuit, beaucoup beaucoup. Ce matin, le ciel se dégage et le soleil se pointe à l’horizon. Il fait très beau. Le déjeuner est habituel. Il y a des œufs, du pain, des tomates et beaucoup de café. Il y a même du jus et du lait.

 

La journée de travail débute par la pose du Canexel, évidemment. Nous complétons le départ de tous les murs. Pour continuer plus haut, il faut faire le recouvrement de la toiture du trait-d’union. Mais il faut attendre qu’elle sèche. Alors on pose du Canexel.

 

Une auto inconnue entre dans la cour. La chienne aboie. Je crois reconnaître nos amis de bateau Claude et Louise. Eh oui, comme promis, ils sont venus. Ils avaient dit qu’ils viendraient en août mais sans préciser le jour. Dommage, Hélène n’est pas ici pour les rencontrer. Ils sont au courant de tout se qui se passe car ils lisent le blogue. Alors pour les présentations, c’est facile. Ils reconnaissent même la madame de la CNESST. Ils font le tour du propriétaire et ne restent pas longtemps. Par contre le présence est immortalisée sur les photo. Pour Côme, le lien est que Louise est la sœur de Richard Hutchison, un ami de Sept-Iles de l’année 1974.

 

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Nos amis de bateau sont attirés par un phare, bien sûr.

 

Il est midi et le dîner se passe en plein air au soleil. C’est le jour du jambon. Délicieux repas.

Après le dîner, je me dois de faire le toit du trait-d’union. Il y a dilemme : recouvrement de membrane brune ou de bardeaux d’asphalte bleu-noir? Nous convenons tous que le bardeau sera plus beau. Jean-Luc nous dit qu’il en reste plein. Mais où? Dans le champ, qu'il répond. Côme fait le tour et réussi à en dénicher 6 bardeaux. Bon, il faudra se rendre à l’évidence et chez BMR.

 

Je travaille tout l’après-midi sur le toit. Je pose le bardeau, la coiffe, le soffite et le facia. Un autre dilemme : le recouvrement des murs du trait-d’union sera-t-il comme celui de la maison ou celui du phare. Nous décidons sans Jean-Luc, qui avait émis le souhait de le faire comme la maison, de le faire comme celui du phare. Heureusement, Jean-Luc a trouvé l’idée très bonne.

 

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C'est ce que ça donne

 

 

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Et ça aussi

 

Côme a passé l’après-midi à poser des morceaux de Canexel autour de fenêtres et de la porte. À 16 h 30, je déclare le chantier fermé et c’est le temps de l’apéro. La discussion porte sur ce qu’on mange pour souper. Jean-Luc a plein de « tousse qui ». Côme ne mange pas de restes. Moi je mange n’importe quoi. Alors Jean-Luc décide que je dois aller chez Tradition et acheter le souper. Je pars sur le champ et je reviens avec un poulet BBQ et de la salade de choux. Côme agrémente le tout avec une sauce BBQ St-Hubert. Jean-Luc me fait une de ces faces mais il mange avec beaucoup d’appétit le souper qui a violé sa conscience culinaire.

 

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Présentation suggérée

 

 

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Il fait très beau encore une fois. C’est toujours la routine du déjeuner.

 

On travaille à poser le Canexel. C’est très long. Le trait-d’union  n’a pas une planche pareil. Il faut les mesurer une par une et les couper à 90 degrés à une extrémité et à 7,5 degrés à l’autre. C’est la même chose pour le tour des fenêtres sauf qu’ici l’angle est de 3,1 degrés. C’est aussi la même chose pour le côté du châssis des fenêtres sauf que là l’angle revient à 7,5 degrés. Côme coupe les planches et moi je les cloue sur les florences.

 

Le dessus du châssis des fenêtres et des portes doit être recouvert de membrane. C’est une étape qui doit se faire juste avant de poser la planche sur le dessus. Encore du mesurage et du coupage de membrane.

 

La partie au dessus du trait-d’union nécessite quelques acrobaties. Comment faire tenir une échelle sur un toit à 45 degrés? Un tabouret de bois doit être fabriqué et le tour est joué.

 

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Un tabouret de bois adapté

 

 

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Je pense, donc je scie, il coupe, je cloue

 

Ce midi on mange dehors. Au menu, des tousse qui, tout ce qui reste de la veille.

 

En après-midi, on continue le Canexel. Ma belle Hélène arrive pour la fin de semaine. On finit le mur de la porte mais la fête ne tarde pas. L’apéro est déclaré et on cuisine dehors. Le « on » exclut vraiment la personne qui écrit.

 

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Voilà où on en est

 

Finalement, on mange à l’intérieur du VR. C’est bon et il y a deux services de desserts : un fromage brie fondu avec amandes et sirop d’érable et tarte au sucre et sirop d’érable. Côme n’aime pas le sirop d’érable mais il aime le sucre alors il flanche.

 

Danyèle n’aime pas les mulots. Il faut mettre du fromage sur le piège. Mais voyons donc, Côme, pas sur le comptoir de cuisine.

 

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Il n'y a pas de mulot sur le comptoir, pourtant.

 

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Il fait beau. Ma douce essaie de me retenir au lit mais je m’en extirpe. Le phare, c’est sérieux. Je déjeune avec les deux autres frères et nous continuons le même travail que la veille. À 11 h, Côme ferme le chantier. Il faut se préparer pour aller à une rencontre de famille chez le quatrième frère à Québec. Aujourd’hui ne compte pas pour une journée de travail.

 

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 Le phare, c'est sérieux mais pas Hélène

 

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Il fait frette mais le soleil est bien présent. On prévoit 24 degrés. Le déjeuner est inhabituel. Hélène, qui a fait des choix hier, doit partir pour le travail par le bateau de 7 h. Côme et Danyèle quittent par le bateau de 9 h. Tout ce monde est actif et les préparations vont bon train si bien qu’à 8 h 15, je me retrouve seul avec Jean-Luc.

 

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T'es pas partie, toi?

 

Je vais chez BMR pour retourner des matériaux et régler la facturation. À mon retour, je pose du Canexel mais cette fois-ci, je suis seul. Alors je monte dans l’échelle, je descends de l’échelle, je coupe, je monte dans l’échelle, le morceau ne fait pas, je redescends de l’échelle, je recoupe, je remonte dans l’échelle, j’ai oublié le niveau, je redescends de l’échelle, je prends le niveau, je remonte dans l’échelle, je nivelle, je pose un clou, je mesure, je redescends de l’échelle, je coupe, je remonte dans l’échelle, etc. Je fais ça toute la journée. Ça n’avance pas vite.

 

Il fait chaud. Le souper est excellent et sans viande rouge.

 

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C'est un "copier, coller" de la journée d’hier. Je pose de Canexel. Il fait chaud et le soleil brille. C'est un deuxième jour sans viande et sans alcool.

 

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Les jours raccourcissent, la fin de l’été est proche. Le soleil se lève en même temps que moi à 6 h. Ce matin, le ciel est beau. Le temps est chaud et un léger vent doux vient de l’est. Jean-Luc est synchro avec moi ce matin. Il revient de sa marche alors que je sors de mon campeur.

 

Après le déjeuner, je calcule le nombre de planches de Canexel dont j’ai besoin pour terminer le recouvrement. Je me rends chez BMR faire la commande et régler de petits détails de facturation.

Je continue la pose du Canexel. Il n’y a rien de nouveau, sauf que j’ai décidé de poser les dernières planches sur le mur aveugle jusqu’en haut. Le phare mesure 28 pieds de haut et mon échelle ne s’allonge qu’à 22 pieds. Alors il me vient l’idée de la rallonger avec l’échelle du nid-de-pie. Je dis alors à Jean-Luc que je vais faire un plan de nègre. Pour qu’il comprenne bien, je le lui dis en anglais : an eggplant. Et on parle de ratatouille.

 

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C'est une bonne idée, je pense

 

 

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That is an eggplant

 

 

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C'est tellement bon, une ratatouille

 

J’installe l’échelle du nid-de-pie sur le mur à un certain angle. Je prolonge son pied pour la rendre solide au sol et je monte l’échelle d’aluminium par-dessus. Je solidifie le tout avec des bouts de bois et des vis pour que rien ne glisse. J’installe ma ligne de vie et j’accroche mon mousqueton sur le cordage que Jean-Luc tire pendant que je monte. Si je tombe, il n’a qu’à tirer légèrement sur le cordage pour le freiner et je resterai suspendu par ma ligne de vie.

 

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Je vous présente mon plan de nègre

 

 

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J'avoue que c'est un peu branlant

 

De cette manière, je pose les cinq dernières planches. C’est un travail périlleux mais je me suis pratiqué avec les araignées. Je continue le Canexel autour de la porte de 24 pouces et c’est alors que la visite arrive : une amie de l’opéra de Jean-Luc avec son mari. Je ferme le chantier et nous prenons l’apéritif dehors près du feu que le mari a allumé. Nous soupons autour du feu et nous poursuivons la conversation jusqu’à 21 h. Ce fut une belle soirée.

 

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Francine et Rock, des gens très sympathiques

 

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Il a plu beaucoup cette nuit et ce matin, c’est un temps pour flâner. J’ai plein de choses à faire à l’intérieur mais à 8 h, il ne pleut plus et le beau temps veut revenir. Je fais quelques dessins de conception pour le phare mais à 10 h, je reprends le travail du Canexel. La visite de la veille revient nous faire des au revoir et à midi, c’est une autre visite qui arrive : Louise d’Entremont et Brian. Ce dernier ne parle pas français et c’est moi qui s’en occupe.

 

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Capucine ne parle ni français, ni anglais

 

Plus tard Jean-Luc part en promenade avec eux et j’en profite pour finir le Canexel du mur de la porte de 24 pouces du troisième étage. À 17 h 15, j’ai tout fini.

 

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C'est haut et acrobatique

 

Je ne peux plus poser de Canexel tant que les fenêtres ne sont pas arrivées ainsi que ma deuxième commande Canexel. Demain, ce sera une journée très légère.

 

La visite du dîner revient pour le souper. J’avais l’intention d’écrire et publier mon blogue mais je socialise à la place. I have to talk in english.

 



30/08/2019
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